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samedi 14 juin 2008

Compte rendu de la manifestation

Merci aux rares personnes venues apporter leur concours dans la distribution des tracts, chacun s'est vu indigné de la situation d'exclusion des pères, et surtout celle de ce père qui s'est vu refuser le droit d'hébergement de son enfant parce que diabétique. C'est uniquement par l'action et la prise de parole que les choses bougerons, d'autant plus ou l'AFP fait part de l'intention du ministère de la justice de donner des droits aux beaux parents, ce qui est une gageure et dangereux lorsque l'on sait à quel point le droit des parents, notamment celui des pères est bafoué. Pour celles et ceux qui veulent nous soutenir vous pouvez acheter le CD au prix de six euros, au siège national, dont la vente permet à l'association de financer les différentes actions qu'elle entreprend dans la défense des droits de l'enfant.

Dépêche AFP - vendredi 13 juin 2008

Un projet de loi sur le "statut" de beau-parent visant à "reconnaître des droits au tiers qui vit avec un des parents et l'enfant" est en préparation, a-t-on appris auprès du ministère de la Justice vendredi.

"L'idée de la réforme est de reconnaître sous certaines conditions des droits au tiers qui vit avec un des parents et l'enfant, il n'est pas question de porter atteinte au droit du parent qui ne vit plus avec l'enfant", a indiqué à l'AFP la Chancellerie.

Une phase de concertation en collaboration avec le ministère du Travail et de la Famille, et le secrétariat d'Etat chargé de la famille a commencé vendredi au ministère de la Justice.

Aucun calendrier n'est fixé pour ce texte qui n'est "absolument pas définitif", a-t-on précisé.

Le document intitulé "avant projet de loi sur l'autorité parentale et les droits des tiers" a été rendu public par l'Interassociative lesbienne, gaie, bi et trans, qui a été reçue au ministère de la Justice. Le droit de l'enfant à entretenir des liens affectifs avec un "tiers qui a résidé avec lui et l'un de ses parents" y est posé comme principe.

Il offre également la possibilité pour les deux parents d'autoriser en commun un tiers à effectuer des actes importants de l'autorité parentale (santé, éducation, droits fondamentaux), selon l'Inter-LGBT.

Les conditions de délégation de l'autorité parentale sont par ailleurs assouplies. Ainsi, le tiers peut "en cas de décès" ou d'incapacité du parent "saisir le juge en vue de se voir déléguée tout ou partie de l'exercice de l'autorité parentale".

Dans un communiqué, l'Inter-LGBT "regrette que le projet de loi n'aille pas au bout de sa logique, en n'autorisant pas, par exemple, l'adoption simple de l'enfant (...), comme c'est aujourd'hui possible au sein d'un couple marié".

Certains sociologues et associations familiales ont fait part de leur crainte d'une "concurrence" entre adultes qui serait néfaste pour l'enfant.

La sociologue Sylvie Cadolle, auteur de "Etre parent, être beau-parent, la recomposition de la famille" (Odile Jacob, 2000), signale ainsi "qu'on s'aperçoit qu'il y a des effets secondaires et des risques à tous les étages".

Pour elle, "la priorité à respecter, c'est surtout de ne pas empiéter sur le droit de l'autre parent, celui qui est extérieur au couple recomposé. D'ailleurs, les oppositions à un statut du beau-parent suscitent surtout l'opposition des mouvements de pères divorcés" dit-elle.

Partant du constat qu'un nombre croissant d'enfants vit dans une famille recomposée, avec un seul de ses parents, Nicolas Sarkozy avait chargé Xavier Bertrand, dans une lettre de mission datée d'août 2007, de créer "un statut" pour donner aux beaux-parents des familles recomposées une existence juridique.

Le ministère de la Justice a indiqué que la concertation se poursuivrait sur "une quinzaine de jours" avec l'ensemble des associations concernées, notamment l'Unaf ou SOS Papa.

dimanche 8 juin 2008

SOSPAPA manifeste le 14 juin 2008

Cette année encore plusieurs centaines de milliers d'enfants ne pourront partager la fête des pères avec celui qui les aime et lui remettre leur cadeau, lui sauter dans les bras. Certains ne savent même plus qui est leur père, ne le connaissent pas, le déteste juste pour le mal qui à été dis de lui, sans savoir les raisons de son absences. Certains pères attendent depuis plusieurs mois, voir plusieurs années que la justice leur donne enfin leur place, qu'ils puissent voir et serrer leur enfant comme le ferait n'importe quel parent.
Nous somme dans un pays de droit, droit de l'homme mais aussi et surtout droits de l'enfant, n'oublions pas que chaque enfant a deux parents, et qu'il ne doit pas être acceptable que l'enfant se voit privé de l'un d'eux sans vrais raisons, juste par la faute de préjugés et de mentalités rétrogrades qui veulent qu'un père soit considéré comme un moins bon parent, affublé de stéréotypes dégradant, voulant qu'il soit incapable ou violant, voir pire...Sortons des tabous et soulevons nous ensemble contre cette injustice, il nous appartient à tous, pères et mères de le faire afin que nos enfants n'aient pas à payer ce lourd tribu de l'exclusion parentale.
La manifestation aura lieu le 14 juin 2008 de 9h à 12h à Montauban (82), sur le marché des producteurs devant l'entrée nord du jardin des plantes, toutes les bonnes volontés seront les bienvenues.

Source Insee Première n°1195 - juin 2008

En 2005 1,76 millions d'enfants sont élevés dans le cadre d'une famille dite (très souvent à tord) « mono parentale ». Or, « mono-parentale » signifie que l’enfant n’a qu’un seul parent, Mais en réalité, seules 10 % de ces situations « mono-parentale » sont dues au décès ou à la disparition d'un des deux parents.

Donc reste 1,584 millions d'enfants qui ont toujours leurs deux parents, 85 % de ses enfants sont confiés à la garde de leur mère alors que la résidence alternée a été inscrite dans le code civil. Seul 8 % profitent de se système de résidence qui permet à l'enfant d'être avec ses deux parents.

40 % des enfants ayant leurs parents séparés ou divorcés ne voient plus ou très rarement leur père :

18 % soit plus de 285 000 enfants ne voient plus du tout leur père !

22 % soit près de 350 000 enfants ne le voient que très rarement !

Sur ceux-ci reste les plus de 700 000 enfants qui ne voient leur père que 2 ou 3 fois par mois, en moyenne 4 jours par mois !

Que devient dans ce contexte, où un père a toutes les peines du monde à conserver le lien avec ses enfants, la loi du 4 mars 2002 prévoyant la résidence alternée ?

Les raisons de la rupture du lien entre l'enfant est le père est du principalement :
- aux éloignements volontaires géographiques, c'est à dire que le parent gardien (à 85% la mère) s'éloigne afin de nuire voir d'empêcher les droits de visites et d'hébergement.
- Aux procédures judiciaires trop longues qui font que des pères aujourd'hui n'ont toujours pas revu leur(s) enfant(s) depuis plusieurs mois, voir plusieurs années...

- aux accusations mensongères, qui valent sous le principe de précaution l'interdiction pour le père de voir ses enfants, ou au mieux en point rencontre (2h toutes les deux semaines maximum), sans que par la suite, le parents ayant accusé soit sanctionné des conséquences de celles ci.
- Les pères qui abandonnent sous la pression des mentalités rétrogrades qui ne lui donnent que peu de chance d'avoir une vrai place dans la vie de son enfant ou par la longueur de procédures et l'acharnement judiciaire qui le ruine tant moralement que financièrement, et ce, toujours en toute impunité.

Il existe en effet des pères réellement démissionnaires, mais combien veulent être présents et ne sont pas entendus, les pères sont autant capables que les mères, et la présence du père est tout aussi importante dès la prime enfance pour l'aider à se construire et à devenir adulte :

Docteur Marc DELFIEU, psychiatre, dans Experts, n° 67, juin 2005, p. 25: « Le taux des maladies psychosomatiques telles que les troubles anxieux, les dépressions, les troubles de la conscience de soi et les troubles relationnels est significativement plus élevé chez les personnes adultes examinées dont le père a été absent pendant une période prolongée au cours des six premières années de leur vie. Environ 50 à 70 % des hommes et femmes subissent encore à l'âge adulte des problèmes considérables pour avoir grandi sans leur père. "

dimanche 1 juin 2008

Affiches SOSPAPA téléchargeables et imprimables

Cette fois c'est bon, les affiches que j'avais préparé sont enfin publiées sur le site national de l'association dans leur version finale, elles sont téléchargeable en version pdf haute qualité. En cliquant sur une des affiches ci dessous vous serez redirigé sur la page où elles sont hébergées, ainsi vous pourrez les imprimer et les afficher sur votre véhicule, lieu de travail ou tout autre endroit ou vous passerez (grandes surfaces, association, administrations, etc avec accord d'un responsable bien sur) seule une large communication permettra de nous faire connaître et de faire changer les mentalités et par la même, la justice...