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mardi 14 avril 2009

Et Mon Papa ? Soirée Projection/Débat le 30 avril à 20h30 à Figeac

Un groupe d'étudiantes Carrières Sociales de l'IUT de Figeac et l'équipe du centre culturel vous proposent une soirée sur le thème de la parentalité et notamment sur la place donnée au père dans les familles séparées.

JEUDI 30 AVRIL à 20h30 au Cinéma Charles Boyer, Figeac - Tarif unique : 3€

Le film : « Monsieur contre Madame » de Claudine Bories (Durée : 92 min)

Lorsqu'un couple divorce, il doit passer devant un juge qui décide lequel des deux parents pourra garder les enfants. Dans 90% des cas, c'est la mère qui obtient ce droit alors que le père n'obtient un droit de visite qui ne dépasse pas deux heures par semaine. A aadef Médiation (Association d'aide à l'enfance et à la famille) on accueille ces couples qui se disputent la garde de leurs enfants. Peut-on briser le mur d'incompréhension et de haine qui les sépare?

Le débat : animé par deux professionnels de la famille

Joël Ginestet, psychologue clinicien depuis 30 ans, établissant des consultations auprès d'enfants, d'adolescents et d'adultes. Psychothérapeute familial.

Cédric Fleurigeon, délégué de l'association SOS Papa Tarn et Garonne.
SOS PAPA est une association membre de l'UNAF (Union Nationale des Associations Familiales), partenaire privilégié du Gouvernement pour tous les sujet concernant le lien parent-enfant, qui défend les droits des enfants à avoir leurs deux parents, la co-parentalité et la résidence alternée, SOS PAPA vient en aide aux pères et mères en difficulté pour maintenir un lien avec leurs enfants ou ayant des difficultés relationnelles avec leurs enfants ou l'autre parent. 42 délégations sont animées par des bénévoles à travers toute la France mais également par des partenariats et une délégation internationale.

Projet de loi Mallié-Decool SOSPAPA : dernière ligne droite

Le 27 Mars prochain seront déposées les signatures collectées pour la pétition, il est important d'augmenter la collecte et d'envoyer vos feuilles à SOSPAPA au plus tard le 20 mars venant (l'adresse est sur la pétition imprimable à télécharger en suivant ce lien >>> ).
A ce jour environ 70 députés ont signé la pétition, c'est bien mais on peut faire mieux, contactez vos députés et sénateurs, soyez nombreux à le faire afin qu'ils prennent la mesure de la nécessité d'un tel projet.

la pétition peut aussi être signée en ligne en cliquant ici >>>

FAITES VITE ! FAITES ÉGALEMENT CIRCULER AUPRÈS DE VOS CONTACTS MAILS LE PROJET !

APPEL A TÉMOIN
PLACEMENT ABUSIF
Juge Des Enfants
TGI de TOULOUSE


Depuis quelques semaines, j'ai eu connaissance de plusieurs dossiers où il m'a été fait état de placement abusif, le schéma est à chaque fois le même à quelques variantes près :
- le parent ayant la résidence principale se retrouve sous des accusations de maltraitances
- les maltraitances sont supposées ou prouvées
- les services de l'aide sociale à l'enfance interviennent
- le juge des enfants est saisie par les service de l'ASE dans le cadre d'un signalement
- le parent n'ayant pas la résidence de l'enfant est convoqué devant le juge des enfants
- le juge des enfants place l'enfant auprès des services sociaux par le biais de l'ASE
- au passage le parent n'ayant pas la résidence, mais tout de même des droits de visites et d'hébergement classiques ou élargis se voit suspendre ses droits au profit de visites médiatisées, au même titre que le parent maltraitant ou supposé maltraitant...
- cette décision est validée et appuyée par les service de l'aide sociale à l'enfance en charge de l'enquête sociale... (n'y a-t-il pas conflit d'intérêt... vous allez comprendre)trouvant tout motif à placer l'enfant plutôt qu'à la confier à l'autre parent, par exemple :
* allégation de conflit parentale
* l'autre parent reproche les actes de maltraitance au parent qui en est accusé
* risque supposé de critiques du parent "maltraitant" et de ses actes de la part de l'autre parent
... faut-il donc louer le parent maltraitant, pas sûr ! vous risqueriez de vous faire reprocher votre manque de reproche, voir de cautionner les actes de maltraitance... la logique est implacable, vous avez toujours tort !
- le juge des enfants dans le même temps qu'il rend la décision de placement, transfère les allocations familiales au service qui accueille l'enfant dans le cadre du placement (ASE) assorti bien sûr des aides du conseil général,voir le rapport du conseil général de 2006 :

http://www.cg31.fr/upload/financements_du_CG_a_Toulouse_en_2006.pdf

"A l’heure où la question du rôle des familles est amplement débattue, tant dans le champ politique que dans le domaine de l’expertise sociale, il faut rappeler le rôle essentiel, irremplaçable de la protection de l’enfance assurée par le Conseil Général. Les placements, conçus comme des derniers recours, représentent des actions considérables comme le montre le tableau ci-dessous." (Hors dans la réalité, il semblerait que du point de vue de la justice, le placement soit le premier recours, plutôt que, tel que la logique le voudrait économisant ainsi au passage les deniers des contribuables, l'enfant soit confié à l'autre parent... qui pourtant fait l'objet de vives précautions non justifiées, violant au passage l'article 3 de la convention internationale des droits de l'enfant :

" L'intérêt prioritaire de l'enfant est d'être élevé par ses parents naturels"

l'intérêt de la justice est-elle l'intérêt réel de l'enfant ou les intérêts financiers de quelques services... la question peut légitimement se poser !)

De plus, une publication du Conseil de l’Europe "Droits des enfants placés et en situation à risque", tire les conclusions suivantes de ces placements :

« Les enfants devraient grandir dans leur famille. Celle-ci, en cas de crise ou de difficultés, devrait recevoir de la part des autorités publiques une aide lui permettant de résoudre ses problèmes et qui soit adaptée à chaque situation spécifique.

Dans certaines situations, néanmoins, les parents sont dans l'incapacité d'élever leurs enfants ou représentent un danger pour eux. L'enfant et ses parents doivent alors être séparés soit avec l'accord des parents soit sur décision de justice.

Le placement doit rester une exception, une solution temporaire - la plus courte possible -, envisageable seulement si toutes les conditions requises sont réunies et si l'objectif premier de cette décision est l’intérêt supérieur de l'enfant, avec à la clé une intégration ou une réintégration sociale rapide et réussie. Le but du placement doit être le développement et l'épanouissement de l'enfant, dont l'opinion doit être prise en compte selon son âge et son degré de maturité."

Ainsi c'est pour 2006, 20 831 625 euros de crédits mandatés pour les placements de mineurs en établissements d'accueil pour la seule ville de Toulouse et 16 497 269 euros pour les autres communes du département, soit un total de plus de 37 millions d'euros !

Si vous êtes concernés vous pouvez me contacter par mail et /ou laisser un simple commentaire à la suite de ce billet (l'anonymat est bien entendu assuré) permettant ainsi de faire un état des lieux de l'étendu des placements abusifs.







samedi 11 avril 2009

Bientôt les inscriptions scolaires...

Chaque année des enfants disparaissent de l'horizon de l'un de leurs deux parents, la fin de l'année arrivant, les problèmes au sein du couple existant ou la volonté d'un des parents de partir, de « refaire sa vie » en y incluant les enfants, procèdent en fin d'année scolaire, ou dans certains cas en cours d'année scolaire, à la demande de radiation de l'enfant afin de l'inscrire ailleurs, sur le nouveau lieu de résidence du parent qui choisi de s'éloigner avec les enfants.

Il est donc important dès à présent pour les parents craignant une séparation et un éloignement de procéder à l'envoi d'un petit courrier afin de dénoncer la présomption d'accord concernant l'autorité parentale conjointe et s'opposer à la radiation, et demander donc la réinscription pour la rentrée suivante.

En parallèle, si le lieu de résidence future du parent rapteur est connu, il est possible et conseillé de procéder à l'envoi dans les mêmes conditions à l'opposition à la scolarisation.

Nombre de parents n'ont pas connaissance du lieu de résidence et de scolarisation de leur enfant, faute d'information tant de la part du parent ayant la résidence principale ou se l'étant attribué hors de toute décision de justice que de l'établissement où il est scolarisé. Il n'y a pas là de fatalité, en effet, suivant les textes définissant les relations entre les parents et l'éducation nationale les parents doivent être tenus informés des résultats et du comportement scolaires de leurs enfants sans exiger une demande préalable du parent chez lequel l'enfant ne réside pas, ainsi il est possible d'envoyer des courriers aux rectorats afin de savoir si son enfant y est scolarisé et dans quel établissement.


Pour tout renseignement, n'hésitez pas à contacter votre délégation SOSPAPA proche de chez vous. Les modèles de courriers sont disponibles sur www.jafland.info ou par mail en contactant votre délégué.