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mardi 14 avril 2009

APPEL A TÉMOIN
PLACEMENT ABUSIF
Juge Des Enfants
TGI de TOULOUSE


Depuis quelques semaines, j'ai eu connaissance de plusieurs dossiers où il m'a été fait état de placement abusif, le schéma est à chaque fois le même à quelques variantes près :
- le parent ayant la résidence principale se retrouve sous des accusations de maltraitances
- les maltraitances sont supposées ou prouvées
- les services de l'aide sociale à l'enfance interviennent
- le juge des enfants est saisie par les service de l'ASE dans le cadre d'un signalement
- le parent n'ayant pas la résidence de l'enfant est convoqué devant le juge des enfants
- le juge des enfants place l'enfant auprès des services sociaux par le biais de l'ASE
- au passage le parent n'ayant pas la résidence, mais tout de même des droits de visites et d'hébergement classiques ou élargis se voit suspendre ses droits au profit de visites médiatisées, au même titre que le parent maltraitant ou supposé maltraitant...
- cette décision est validée et appuyée par les service de l'aide sociale à l'enfance en charge de l'enquête sociale... (n'y a-t-il pas conflit d'intérêt... vous allez comprendre)trouvant tout motif à placer l'enfant plutôt qu'à la confier à l'autre parent, par exemple :
* allégation de conflit parentale
* l'autre parent reproche les actes de maltraitance au parent qui en est accusé
* risque supposé de critiques du parent "maltraitant" et de ses actes de la part de l'autre parent
... faut-il donc louer le parent maltraitant, pas sûr ! vous risqueriez de vous faire reprocher votre manque de reproche, voir de cautionner les actes de maltraitance... la logique est implacable, vous avez toujours tort !
- le juge des enfants dans le même temps qu'il rend la décision de placement, transfère les allocations familiales au service qui accueille l'enfant dans le cadre du placement (ASE) assorti bien sûr des aides du conseil général,voir le rapport du conseil général de 2006 :

http://www.cg31.fr/upload/financements_du_CG_a_Toulouse_en_2006.pdf

"A l’heure où la question du rôle des familles est amplement débattue, tant dans le champ politique que dans le domaine de l’expertise sociale, il faut rappeler le rôle essentiel, irremplaçable de la protection de l’enfance assurée par le Conseil Général. Les placements, conçus comme des derniers recours, représentent des actions considérables comme le montre le tableau ci-dessous." (Hors dans la réalité, il semblerait que du point de vue de la justice, le placement soit le premier recours, plutôt que, tel que la logique le voudrait économisant ainsi au passage les deniers des contribuables, l'enfant soit confié à l'autre parent... qui pourtant fait l'objet de vives précautions non justifiées, violant au passage l'article 3 de la convention internationale des droits de l'enfant :

" L'intérêt prioritaire de l'enfant est d'être élevé par ses parents naturels"

l'intérêt de la justice est-elle l'intérêt réel de l'enfant ou les intérêts financiers de quelques services... la question peut légitimement se poser !)

De plus, une publication du Conseil de l’Europe "Droits des enfants placés et en situation à risque", tire les conclusions suivantes de ces placements :

« Les enfants devraient grandir dans leur famille. Celle-ci, en cas de crise ou de difficultés, devrait recevoir de la part des autorités publiques une aide lui permettant de résoudre ses problèmes et qui soit adaptée à chaque situation spécifique.

Dans certaines situations, néanmoins, les parents sont dans l'incapacité d'élever leurs enfants ou représentent un danger pour eux. L'enfant et ses parents doivent alors être séparés soit avec l'accord des parents soit sur décision de justice.

Le placement doit rester une exception, une solution temporaire - la plus courte possible -, envisageable seulement si toutes les conditions requises sont réunies et si l'objectif premier de cette décision est l’intérêt supérieur de l'enfant, avec à la clé une intégration ou une réintégration sociale rapide et réussie. Le but du placement doit être le développement et l'épanouissement de l'enfant, dont l'opinion doit être prise en compte selon son âge et son degré de maturité."

Ainsi c'est pour 2006, 20 831 625 euros de crédits mandatés pour les placements de mineurs en établissements d'accueil pour la seule ville de Toulouse et 16 497 269 euros pour les autres communes du département, soit un total de plus de 37 millions d'euros !

Si vous êtes concernés vous pouvez me contacter par mail et /ou laisser un simple commentaire à la suite de ce billet (l'anonymat est bien entendu assuré) permettant ainsi de faire un état des lieux de l'étendu des placements abusifs.







4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis ,également victime depuis le 27 Octobre 2008 d'un placement abusif d'enfant, trois bambins exactement. Je me suis séparée le 28 Aout 2007 d'un mari violent, qui se drogué et qui consommé de l'alcool et je peux vous dire que ça été dure pour moi car je n'ai eue aucun soutien même pas de ma famille.Je suis donc venue habiter dans cette région du 82 avec mon compagnon et les enfants. Le JAF qui s'occupait de mon divorce a demandé une enquête des deux côtés et m'avait confiait la résidence le temps que l'enquête se fasse et que le divorce soit définitivement prononcé. L'enquêtrice c amusait a raconter plein de connerie et les placements n'étant pas la compétence du JAF celle ci a envoyée un courrier au procureur de Montauban et mon compagnon et moi nous nous sommes retrouvés face a M.BODO éducateur en service d'accueil en milieu ouvert qui travail a la sauvegarde de Montauban. M.BODO étant trés entreprenant dés le premier jour c permis de me demander de lever mon haut pour voir mon tatouage dans le dos, il s'est permis également de dire a mon compagnon je cite "vous avez une très belle femme" et enfin toujours a mon compagnon "on peut jouer au jeu du plus con". Etant donner que depuis les violences que j'ai recue de mon ex mari et par respect pour mon couple j'ai refusé a M.BODO de venir chez moi quand mon compagnon était absent. Lors des visites à la sauvegarde qu'il demandait j'ai acceptée mais comme mon compagnon ne pouvais pas rentrer avec moi car ca n'est pas le père des petits, j'ai demandé a ce que la psychologue soit présente. M.BODO ne s'est pas gêné pour également nous dire devant les enfants que nous étions je cite"vous êtes une belle bande de menteurs et d'hypocrite". M.BODO a bien donc dit a la juge Mme LAMOTHE que je n'ai pas voule travailler avec eux et comme bien entendue Mme la juge n'a pas voulu entendre mes explications, a donc plaçée mes enfants sur le champ. Mon jugement a été revu le 14 Mai 2009 avec une nouvelle juge Mme ALAUX-LAMBERT qui n'est pas plus compréhensive et qui m'a reprochée mes erreurs du passé en me disant que j'aurai du mieux choisir mes anciens compagnons. Comme si j'étais devin ou voyant ou peut-être juge mais bon je paie le crime d'avoir aimé et de metttre plantée même si j'ai tous fait pour redresser la situation car mon compagnon et moi pouvons apporter une situation stable aux petits. Me revoilà donc repartie jusqu'a Mai 2010 avec les enfants que je vois une heure tous les quinze jours à la sauvegarde sous surveillance de l'éducatrice. Ma fille qui a dix ans quand a elle je ne la voit plus depuis janvier car bien entendu on leur promets monde et merveilles dans les familles d'accueils donc elle ne veut plus me voir et on ne la force pas. Le père des deux garçons lui on sait pas pourquoi il voit les enfants un demi dimanche tous les quinze jours même si c'est visite on diminuer il en profite plus que moi alors qu'il est violent et je ne pense pas qu'il est arrêté la drogue. Enfin c le monde a l'envers je compte sur l'appel que j'ai fait au jugement je ne sais pas encore quand est-ce-que je vais monter a toulouse mais j'espère au moins avoir un hébergement dans le mois pour mes deux garçons. Mais voilà je n'espère plus grand chose et je pense que si les choses ne bougent pas et que si tout ça dure trop longtemp je laisserai tout tomber car ça ne sert a rien de se battre c'est le pot de terre contre le pot de fer. Voilà je veux seulement dire à mes enfants dont je ne citerai pas les noms JE VOUS AIMENT ET VOUS ME MANQUAIENT.

Anonyme a dit…

Bonjour,
En ce qui concerne TOULOUSE des placements sordides ont eu lieu en 1999.Vous pourrez lire les récits sur "CONTRE-ENQUETE:l'affaire d'Outreau".Ancun site n'existait nous avions écrit sur les commentaires du livre de DOMINIQUE LABARRIERE sur l'affaire de JACQUES VIGUIER dans la mesure ou LE JUGE POUR ENFANTS etait devenu le JUGE à l'instruction pour JACQUES VIGUIER.Nos commentaires ont été effaçés.A ce jour seul le temps a appaisé des souffrances intolérables.

goudar a dit…

J’ai eu moi aussi la "chance" d'être victime d'une enquête de la sauvegarde de Montauban.
et d'expérience je conseillerai a tous d'être extrêmement vigilant vis a vis des enquêteurs (psychologues inclus) et a la sémantique bien huilée mais somme toute médiocre utilisée.
Cela signifie pour celui ou celle qui est obligé d’y faire face : être ou devenir cynique dans l’ancienne acceptation c.-à-d. : être tout a fait lucide quand a la rhétorique mise en place.

J’ai longtemps estimé que des penseurs comme Derrida ou Foucault étaient intéressants
Je les considère aujourd’hui après 4 ans de déboires post séparation comme vitaux, pour contrer les méthodes fascisantes « douces » qui servent de fondation a l’institution.
Il est extrêmement important de tout noter et conserver (et je pense aujourd’hui qu’il serait bon de toujours exiger L’enregistrement audio de tout entretien pour se protéger des dérives et mystifications des enquêteurs) en sachant que votre parole ne vaut rien et sera a souhait « corrigée » pour satisfaire aux exigences de la parole des « experts ».
Il est ainsi important et précieux de déchiffrer et décortiquer les rapports qui sont mal ficelés et médiocres, truffés d’approximations , de « termes bateaux » ou de contre vérités( amas de présupposés caricaturaux qui seraient risibles s’il ne s’agissait pas du devenir de personnes et d’enfants) et ne pas hésiter si Les ficelles sont trop grosses de faire entendre sa voix ( surtout par écrits) ou/& de faire immédiatement appel. ( il serait d’ailleurs intéressant de confronter différents dossiers pour voir si la rhétorique ou le vocabulaire est adapté et respectueux de l’unicité de chaque cas ….ou bien un ressassé de prose « prêt a servir »)

Au delà des torts ou des responsabilités, les familles – et oui même les hommes ! ont droit au respect , or d’expérience a ce niveau de la procédure judicaire ce droit n’est absolument pas respecté.
Alors bonne chance a tous ceux qui doivent subir cette machine deshumanisante qui dans mon cas a été délétère, et surtout vigilance !

Anonyme a dit…

Bonsoir,
J'ai posté un messsage le 5/10.Entre temps si vs voulez venir sur mon groupe"POUR REVELER LES PLACEMENTS D'ENFANTS INNOCENTS de PARENTS INNOCENTS" (FACEBOOK:déjà 26 adhérents dont des juristes)ce serait utile.Mon commentaire a été publié sur FRANCE-SOIR le 1/03....comme le J.des ENFANTS est devenu le JUGE d'INSTRUCTION du professeur VIGUIER......mon commentaire a été publié.Sans les médias...rien de posssible.AVEC LES PARENTS(du groupe des commentaires de "Contre-ENQUETE"à oUTREAU nous souhaitons une réunion à TOULOUSE en vue d'une SAISINE du CONSEIL SUPERIEUR de la MAGISTRATURE.Très cordialement.FIORELLA DI LUCCI.LICENCIEE de le FACULTE de DROIT de TOULOUSE 1.