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samedi 12 mars 2011
mercredi 9 février 2011
lundi 8 novembre 2010
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE : construisons l'avenir !
L'association s'est vue paralysée d'une part par la démission successive en septembre 2009 du vice-président, puis en mai dernier, du président et du trésorier, ainsi que d'autres difficultés conséquentes. L'assemblée générale a été vivement et longuement réclamée afin de reprendre un fonctionnement actif essentiel pour la cause des droits de l'enfant.
L'assemblée générale de l'association arrive enfin, attendue depuis le mois de juin dernier, elle aura lieu le 27 novembre 2010 de 8h30 à 12h à l'A.S.I.E.M. (www.asiem.fr) au 6, rue Albert de Lapparent (75007 Paris) salle 217 A et B (attention capacité d'accueil de 90 personnes) à environ 200m du siège national.
vendredi 13 novembre 2009
reprise de la permanence et journée portes ouvertes médiation
une première date est fixée le lundi 16 novembre entre 20h et 23h à la maison du peuple à Montauban, l'avocate partenaire sera présente.
De plus sospapa se fait le relais d'une journée portes ouvertes de l'espace médiation familiale qui aura lieu le 19 novembre 2009 de 9h à 17h30 dans leurs locaux situés 5B rue Henri Marre à MONTAUBAN.
Il est possible de joindre leur secrétariat tous les matins au 0563635437 ou bien par mail : mediation82@orange.fr.
Pour plus de renseignements sur la médiation familiales, connaitre les projets, l'actualité, vous pouvez consulter leur site internet : www.mediation82.com
Il est bien entendu inutile de signaler que cette solution qui permettrait d'apaiser bien des conflits, de renouer un dialogue, de faire comprendre à l'autre ses attentes vis à vis de ou des enfants communs n'est que trop peu utilisée par la justice.
samedi 5 septembre 2009
CONTINUEZ À FAIRE TOURNER LE LIEN DE LA VIDÉO A TOUS VOS CONTACTS : http://www.dailymotion.com/user/charlyslr82/video/xaafry_alerte-enlevement_news et rendez vous à nouveau pour celles et ceux qui le veulent le 22 septembre à partir de midi devant la Cour d'Appel de Toulouse pour vous exprimer sur le traitement de la justice des droits et de l'intérêt de nos enfants... la presse est bien entendue conviée.
Affichez le bandeau alerte enlèvement sur votre véhicule ou sur votre lieu de travail en le téléchargeant et en l'imprimant ICI.
jeudi 27 août 2009
J'ai du me défendre seul devant une juge, œuvrant en qualité de conseiller de la mise en état qui à validé l'extradition de mon enfant, sans le moindre moyen de droit à l'appui de sa décision, reste un dernier espoir la cour d'appel où je dois passer en audience la semaine prochaine.
Si la chose est validée, comme de nombreux enfants, le mien n'aura plus comme seul repère que sa mère, il perdra les repères réguliers qu'il a avec son père, son frère, ses deux sœurs, son école, ses copains, sa grand mère maternelle chez qui il allait manger chaque midi, il parait que c'est dans son intérêt...
Faites passer cette vidéo à tous vos contacts, faisons grimper le compteur pour que cette vidéo soit dans le top des vidéos les plus vues, que la justice prenne conscience qu'en déracinant des enfants ainsi elle ne défends pas l'intérêt de l'enfant mais celui du parent qui s'éloigne... cliquez sur le bandeau !
mercredi 29 juillet 2009
Déposer plainte, le parcours du combattant
La semaine passée, un papa a pris contact avec moi, il subit une séparation où, comme ça a lieu habituellement, l'enfant est pris en otage...la mère refuse tout contact hors de sa volonté et de son contrôle entre l'enfant et le père, s'est ainsi qu'un soir les forces de l'ordre se sont présentées chez lui, à la demande de la mère quelques minutes après qu'elle les ait contacté, il n'avait son enfant que depuis quelques heures et souhaitait passer un peu plus de temps avec lui que ce que la mère lui avait "autorisé", il lui a été demander de rendre l'enfant à la mère, dans le cadre d'une médiation, afin d'éviter tout conflit, il s'y est plié, la mère l'a par la suite menacé d'après ses dires qu'il ne reverrait plus l'enfant, et en effet, deux jours plus tard il se déplace pour le voir et se voit opposer un refus ferme, les forces de l'ordre ne se déplaceront pas, il se déplacera donc au commissariat afin de déposer légitimement une plainte pour non présentation d'enfant (art 227-5 du code pénal), il est a précisé qu'il était accompagné d'un témoin depuis le départ de cette aventure...
Arrivé au commissariat de Montauban, il a été reçu et s'est vu opposé une fin de nom recevoir sur la base totalement illégale qu'il n'existait pas de décision de justice et qui plus est que le commissariat avait des instructions du parquet en ce sens !
Je lui avais fourni afin de faire valoir ce que de droit, deux feuillets (ici) comprenant :
- "Circulaires de la direction des Affaires criminelles et des Grâces
Signalisation des circulaires du 1er avril au 30 juin 2001" (ici) relative au dépôt de plainte,
- l'article 15-3 du code de procédure pénal (ici) conférant au forces de l'ordre le devoir de prendre sa plainte et de lui en remettre une copie à sa demande,
- l'article 85 du code de procédure pénal (ici) donnant explication sur la possibilité à toute personne victime d'un délit de se constituer partie civile devant le juge d'instruction si sa plainte ne reçoit pas suite dans les trois mois ou se trouve classée sans suite,
- les articles 432-1 et 432-2 du code pénal (ici) concernant les poursuites qui peuvent être engagées à l'encontre des personnes dépositaire de l'autorité publique qui ferait obstacle à l'exécution de la loi.
au surplus de se voir refuser de prendre sa plainte, il aurait été menacé par l'agent de se voir, dans le cas où il persisterait à vouloir déposer plainte, de se retrouver en garde à vue pour outrage et ceci devant témoins... ce n'est malheureusement pas une exception plusieurs cas similaires, y compris avec présentation d'une décision de justice se sont vu refuser l'application de la loi, je suis d'ailleurs en train de récolter des attestations, toute personne victime de ce comportement peut me faire parvenir une attestation (ici) accompagné d'une copie de sa pièce d'identité.
J'ai à cette issue pris contact avec le bureau du Directeur Départemental de la sécurité publique qui m'a rappeler peu de temps après, me donnant les mêmes motifs au refus, j'ai ensuite pris attache avec le cabinet de madame la préfète afin d'exposer la difficulté et le comportement inadmissible des forces de l'ordre, réponse m'a été faite sur ma messagerie par Madame MEYER, directrice de cabinet dans la même veine.
J'ai rappeler ce jour le secrétariat du cabinet de Madame la Préfète et affirmer ma volonté d'obtenir un entretien et l'application de la loi, nous sommes dans un pays de droit où chaque citoyen doit être respecté, où les droits de l'enfant doivent être respectés et où les représentant de l'autorité et de l'état doivent veiller à la sauvegarde des droits fondamentaux.
J'ai donner à chacune des personnes information que l'article 227-5 du code pénal ne dit pas l'obligation d'une décision de justice pour constituer le délit à l'appui de la jurisprudence de la cour de Cassation (ici).
Les choses n'en resteront pas là et tout sera fait pour obtenir l'application de la loi !
mardi 14 juillet 2009
lundi 13 juillet 2009
Manifestation toulousaine
Nous n'étions certes pas très nombreux, mais l'impact fut à la mesure de nos attentes, de nombreuses personnes sont venues à notre rencontre afin d'avoir des informations sur notre association et pour être aidé et conseillé dans leur situation, il ne faut pas oublier que chaque personne ayant besoin d'aide et même les autres doivent et peuvent agir à leur tour.
Seul bémol, le comportement de certaines personnes présentent, militantes et membre du planning familial qui avait un stand proche du capitole, en effet à notre passage nous nous sommes fait huer et insulter à la seule évocation que les enfants n'appartiennent ni aux pères, ni aux mères, mais que les enfants ont deux parents qui doivent être présents séparés ou non pour les élever dans l'amour et les valeurs familiales, même l'évocation du nom de Madame Evelyne Sullérot, co-fondatrice du planning familial et marraine de notre association reçu les foudres de vos sympathisants.
Je trouve ce comportement fort déplorable tant envers les personnes visées, que envers les principes défendus par le féminisme et la co-parentalité par les évolutions essentielles de la loi et de la société.
Un mail a été d'ailleurs envoyé afin de recevoir le commentaire de la part des responsables du planning familial de Toulouse, la réponse est attendue et sera publiée, si toutefois une réponse est donnée...
J'espère que nous serons plus nombreux lors de nos prochaines actions, dont pour le 20 novembre, 20e anniversaire de la convention internationale des droits de l'enfant et pour les fêtes de fin d'années et d'autres action plus ponctuelles.
jeudi 11 juin 2009
J-2 manifestation pour les droits de l'enfant à Toulouse
Il sera lu, comme prévu, des extraits de décision de justice, de rapport d'enquêtes "sociales" , anonymisées, à l'exception, tel qu'il l'est permis, du nom du tribunal, du magistrat, de l'enquêteur et de l'avocat. Les personnes qui souhaitent que soit lu un extrait de leur décision doivent sans tarder faire parvenir une copie numérique intégrale (scan ou photographie) de la décision ou de l'enquête dont il sera fait lecture, en soulignant le passage "intéressant".
Je recherche afin de conserver une trace, une personne possédant un caméscope si possible qui enregistre sur DVD ou sur tout autre support, mais pouvant par la suite (le plus rapidement possible) me le transmettre au format numérique, qui se porterait volontaire pour filmer tout le long du défilé , ainsi je ferai un montage qui sera mis en ligne sur le blog de la délégation et également sur le site national, un photographe serai aussi le bienvenu, merci aux postulants de me contacter rapidement.
Un signe de reconnaissance est mis en place, il est facultatif... il s'agit de se dessiner une larme bleue sous l'œil gauche comme sur les personnages qui font parti de l'image de l'association. SOYEZ NOMBREUX AU RENDEZ VOUS AVEC VOS ENFANTS, VOTRE FAMILLE, VOS AMIS, ETC.
mercredi 3 juin 2009
Le TGI de Montauban, les enquêteurs sociaux et la loi
Au passage j'ai posé la question du pourquoi alors qu'une affiche SOSPAPA trônait dans la salle d'attente à coté du bureau du juge aux affaires familiales avec celles de la médiation familiale et du CIDFF, et, y est resté plusieurs mois, celle-ci a été retirée ? La réponse de la greffière en chef est que l'affiche et l'association plus particulièrement tiendrait un parti pris... pour l'un des parents !?! je lui est donc expliqué que SOSPAPA ne défends pas l'un des parents, mais les droits de l'enfant, en effet le leitmotiv de l'association est bien les droits de l'enfant à avoir ses deux parents ce que la justice familiale de notre pays n'est pas à même de façon générale de respecter amputant l'enfant de l'un de ses deux parents, le père de façon quasi totale, sur la simple demande et volonté de l'autre parent, celui qui est privilégié par la justice et souhaite la résidence principale de l'enfant et octroyer au mieux le "minimum syndical" week end sur deux et demi vacances...
J'ai proposé pour chacun des problèmes deux solutions :
- pour la liste, qu'il me soit permis d'y accéder rapidement, ainsi dans deux semaines j'y retournerai, faute d'accès je contacterai la CADA et estimerai la possibilité de poursuites auprès des personnes faisant obstruction aux droits acquis à tous citoyens.
- pour l'affiche je retournerai avec plusieurs affiches afin qu'il soit fait le choix par la greffière en chef de celle qui retrouvera la place de celle en place précédemment, faute d'accès à cette demande, il sera déposé plainte auprès de la HALDE et estimation des éventuelles poursuites nécessaires.
En conclusion, la justice est égale à ce qu'on attend d'elle tant que l'on a pas besoin d'elle et qu'on ne lui demande de rien et surtout refuse le contradictoire et d'entendre la moindre critique sur son fonctionnement, les juges ne se déjugent pas, la cassation restant le seul niveau de juridiction où le droit est appliqué au plus proche de la loi et de l'esprit du législateur lorsque bien sur le justiciable en a les moyens ou ne se fait pas refusé arbitrairement cet accès, certaines affaires médiatisées nous ont prouvé l'impunité et l'irresponsabilité des juges devant leurs erreurs, c'est d'ailleurs bien connu, ils n'en font pas, et quand bien même les sanctions, lorsqu'il y en a, sont minimes face aux conséquences que subissent les justiciables qui avaient au départ toute confiance en la justice, l'estimant juste et impartiale, à tord...
J'engage chaque citoyen a se rendre dans son TGI et sa Cour d'Appel avec le décret et y réclamer de pouvoir consulter la liste des enquêteurs sociaux et de me la communiquer ainsi il sera vérifier la légalité d'exercice de ses personnes, les listes seront bien sur mises en lignes et le résultat des recherches rendues publiques dans l'intérêt des justiciables...
jeudi 28 mai 2009
Manifestation pour les droits de l'enfant le 13 juin 2009
En effet chaque année se sont des milliers d'enfants qui se retrouvent privés d'un de leur deux parents soit par un choix personnel imposé par l'un des deux parents lui même mais également validé voir imposé sans réel motif (la notion d'intérêt de l'enfant n'étant pas défini autrement que par le pouvoir souverain du magistrat sans que cela puisse être contesté que très difficilement) que les habituels arguments obsolètes des juges aux affaires familiales. Un enfant se fait à deux et s'élève à deux, personne ne devrait avoir le droit d'imposer une tel maltraitance à un enfant qui souffre déjà assez de la séparation de ses parents.
Il y a forcément quelqu'un dans votre entourage, si ce n'est vous même qui est concerné, un parent, un enfant victime de cette aberration judiciaire, cette coutume qui plutôt que de défendre l'apaisement du conflit en systématisant la médiation familiale et la résidence alternée, préfère laisser s'amplifier le conflit qui ne profite en rien à l'intérêt de l'enfant. venez nombreux défendre les droits de l'enfant avec vos enfants, votre famille et vos amis. Imprimez l'affiche en cliquant dessus et diffusez l'information partout : dans les lieux publics, sur votre lieu de travail, etc, pour faire bouger les choses et nous faire entendre il n'y a pas de secret, il faut être présent en nombre, rassemblons nous le 13 juin à partir de 13 heures devant le Capitole, le parcours est encore en attente de validation (mais la manifestation aura bien lieu), ci dessous vous trouverez celui déposé auprès de la préfecture.
Il est prévu, sur le parcours, des arrêts devant les points stratégiques, inscrits en noir, avec lecture d'extraits de jugements (transmettez moi des scan de vos décisions si vous estimez que les motifs manquent de réalisme et d'appui), ainsi que des distributions de tracts et de bonbons sur toute la durée du parcours, et à la fin du défilé un lâché de ballon (sous réserve d'autorisation et de moyens). Pour plus d'informations, contactez moi, mais n'oubliez pas de diffuser à tous vos contacts.
Journée internationale des enfants disparus
Le lundi 25 mai 2009 avait lieu la 26e journée internationale des enfants disparus et le lancement pour la France du "116000, son but est d’offrir aux parents et aux familles, d'après le communiqué de presse :
• accueil et écoute téléphonique
• suivi des dossiers tout au long des procédures
• accompagnement dans les démarches auprès des services d’enquête et des autorités judiciaires
• orientation vers les administrations et les associations spécialisée
• orientation vers un soutien psychologique si nécessaire.
Les écoutants et les chargés de dossiers sont des professionnels dûment formés et sensibilisés à la prise en compte des difficultés des familles et à l’évaluation de leurs besoins."
Toutefois, il est à signaler que le rapt parental international, concernant des couples bi-nationnaux est reconnu, lorsqu'il s'agit de couples franco-français, le rapt parental n'est pas reconnu, et la justice n'apporte aucune sinon une aide très mince ne permettant pas un retour rapide de l'enfant dans son cadre de vie sociale habituel, il est bien souvent à la charge du parent victime du rapt de retrouver son enfant, et c'est encore plus difficile lorsque des accusations de violences sont portées même s'il s'agit de mensonges et qu'aucune preuve n'en est apporté.
Si vous êtes victimes de ce fait, contactez le 116000, ne serait-ce que pour faire comptabiliser votre situation dans leurs statistiques afin d'alerter les pouvoirs publics et la justice sur la situation française et prenez ensuite contacte avec votre délégation sospapa pour obtenir l'aide et les conseils nécessaires afin de vous défendre à court, moyen et long terme, car derrière un rapt parental peut se cacher d'autres actes de destructions aussi graves pour que le jour où vous retrouverez votre enfant, il ne soit possible d'engager des retrouvailles rapides et sereines... il n'y a pas de fatalité sauf à se laisser abattre, vous n'êtes pas seuls, d'autres sont passés par là et s'en sont sorti avec une fin heureuse du moment où ils se sont levés et ont décidé d'agir.
mardi 14 avril 2009
Et Mon Papa ? Soirée Projection/Débat le 30 avril à 20h30 à Figeac
Un groupe d'étudiantes Carrières Sociales de l'IUT de Figeac et l'équipe du centre culturel vous proposent une soirée sur le thème de la parentalité et notamment sur la place donnée au père dans les familles séparées.
JEUDI 30 AVRIL à 20h30 au Cinéma Charles Boyer, Figeac - Tarif unique : 3€
Le film : « Monsieur contre Madame » de Claudine Bories (Durée : 92 min)
Le débat : animé par deux professionnels de la famille
Joël Ginestet, psychologue clinicien depuis 30 ans, établissant des consultations auprès d'enfants, d'adolescents et d'adultes. Psychothérapeute familial.
Cédric Fleurigeon, délégué de l'association SOS Papa Tarn et Garonne.
SOS PAPA est une association membre de l'UNAF (Union Nationale des Associations Familiales), partenaire privilégié du Gouvernement pour tous les sujet concernant le lien parent-enfant, qui défend les droits des enfants à avoir leurs deux parents, la co-parentalité et la résidence alternée, SOS PAPA vient en aide aux pères et mères en difficulté pour maintenir un lien avec leurs enfants ou ayant des difficultés relationnelles avec leurs enfants ou l'autre parent. 42 délégations sont animées par des bénévoles à travers toute la France mais également par des partenariats et une délégation internationale.
Projet de loi Mallié-Decool SOSPAPA : dernière ligne droite
Le 27 Mars prochain seront déposées les signatures collectées pour la pétition, il est important d'augmenter la collecte et d'envoyer vos feuilles à SOSPAPA au plus tard le 20 mars venant (l'adresse est sur la pétition imprimable à télécharger en suivant ce lien >>> ).
A ce jour environ 70 députés ont signé la pétition, c'est bien mais on peut faire mieux, contactez vos députés et sénateurs, soyez nombreux à le faire afin qu'ils prennent la mesure de la nécessité d'un tel projet.
FAITES VITE ! FAITES ÉGALEMENT CIRCULER AUPRÈS DE VOS CONTACTS MAILS LE PROJET !
- le parent ayant la résidence principale se retrouve sous des accusations de maltraitances
- les maltraitances sont supposées ou prouvées
- les services de l'aide sociale à l'enfance interviennent
- le juge des enfants est saisie par les service de l'ASE dans le cadre d'un signalement
- le parent n'ayant pas la résidence de l'enfant est convoqué devant le juge des enfants
- le juge des enfants place l'enfant auprès des services sociaux par le biais de l'ASE
- au passage le parent n'ayant pas la résidence, mais tout de même des droits de visites et d'hébergement classiques ou élargis se voit suspendre ses droits au profit de visites médiatisées, au même titre que le parent maltraitant ou supposé maltraitant...
- cette décision est validée et appuyée par les service de l'aide sociale à l'enfance en charge de l'enquête sociale... (n'y a-t-il pas conflit d'intérêt... vous allez comprendre)trouvant tout motif à placer l'enfant plutôt qu'à la confier à l'autre parent, par exemple :
* allégation de conflit parentale
* l'autre parent reproche les actes de maltraitance au parent qui en est accusé
* risque supposé de critiques du parent "maltraitant" et de ses actes de la part de l'autre parent
... faut-il donc louer le parent maltraitant, pas sûr ! vous risqueriez de vous faire reprocher votre manque de reproche, voir de cautionner les actes de maltraitance... la logique est implacable, vous avez toujours tort !
- le juge des enfants dans le même temps qu'il rend la décision de placement, transfère les allocations familiales au service qui accueille l'enfant dans le cadre du placement (ASE) assorti bien sûr des aides du conseil général,voir le rapport du conseil général de 2006 :
http://www.cg31.fr/upload/financements_du_CG_a_Toulouse_en_2006.pdf
"A l’heure où la question du rôle des familles est amplement débattue, tant dans le champ politique que dans le domaine de l’expertise sociale, il faut rappeler le rôle essentiel, irremplaçable de la protection de l’enfance assurée par le Conseil Général. Les placements, conçus comme des derniers recours, représentent des actions considérables comme le montre le tableau ci-dessous." (Hors dans la réalité, il semblerait que du point de vue de la justice, le placement soit le premier recours, plutôt que, tel que la logique le voudrait économisant ainsi au passage les deniers des contribuables, l'enfant soit confié à l'autre parent... qui pourtant fait l'objet de vives précautions non justifiées, violant au passage l'article 3 de la convention internationale des droits de l'enfant :
" L'intérêt prioritaire de l'enfant est d'être élevé par ses parents naturels"
l'intérêt de la justice est-elle l'intérêt réel de l'enfant ou les intérêts financiers de quelques services... la question peut légitimement se poser !)
De plus, une publication du Conseil de l’Europe "Droits des enfants placés et en situation à risque", tire les conclusions suivantes de ces placements :
« Les enfants devraient grandir dans leur famille. Celle-ci, en cas de crise ou de difficultés, devrait recevoir de la part des autorités publiques une aide lui permettant de résoudre ses problèmes et qui soit adaptée à chaque situation spécifique.
Dans certaines situations, néanmoins, les parents sont dans l'incapacité d'élever leurs enfants ou représentent un danger pour eux. L'enfant et ses parents doivent alors être séparés soit avec l'accord des parents soit sur décision de justice.
Le placement doit rester une exception, une solution temporaire - la plus courte possible -, envisageable seulement si toutes les conditions requises sont réunies et si l'objectif premier de cette décision est l’intérêt supérieur de l'enfant, avec à la clé une intégration ou une réintégration sociale rapide et réussie. Le but du placement doit être le développement et l'épanouissement de l'enfant, dont l'opinion doit être prise en compte selon son âge et son degré de maturité."
Ainsi c'est pour 2006, 20 831 625 euros de crédits mandatés pour les placements de mineurs en établissements d'accueil pour la seule ville de Toulouse et 16 497 269 euros pour les autres communes du département, soit un total de plus de 37 millions d'euros !
Si vous êtes concernés vous pouvez me contacter par mail et /ou laisser un simple commentaire à la suite de ce billet (l'anonymat est bien entendu assuré) permettant ainsi de faire un état des lieux de l'étendu des placements abusifs.
samedi 11 avril 2009
Bientôt les inscriptions scolaires...
Chaque année des enfants disparaissent de l'horizon de l'un de leurs deux parents, la fin de l'année arrivant, les problèmes au sein du couple existant ou la volonté d'un des parents de partir, de « refaire sa vie » en y incluant les enfants, procèdent en fin d'année scolaire, ou dans certains cas en cours d'année scolaire, à la demande de radiation de l'enfant afin de l'inscrire ailleurs, sur le nouveau lieu de résidence du parent qui choisi de s'éloigner avec les enfants.
Il est donc important dès à présent pour les parents craignant une séparation et un éloignement de procéder à l'envoi d'un petit courrier afin de dénoncer la présomption d'accord concernant l'autorité parentale conjointe et s'opposer à la radiation, et demander donc la réinscription pour la rentrée suivante.
En parallèle, si le lieu de résidence future du parent rapteur est connu, il est possible et conseillé de procéder à l'envoi dans les mêmes conditions à l'opposition à la scolarisation.
Nombre de parents n'ont pas connaissance du lieu de résidence et de scolarisation de leur enfant, faute d'information tant de la part du parent ayant la résidence principale ou se l'étant attribué hors de toute décision de justice que de l'établissement où il est scolarisé. Il n'y a pas là de fatalité, en effet, suivant les textes définissant les relations entre les parents et l'éducation nationale les parents doivent être tenus informés des résultats et du comportement scolaires de leurs enfants sans exiger une demande préalable du parent chez lequel l'enfant ne réside pas, ainsi il est possible d'envoyer des courriers aux rectorats afin de savoir si son enfant y est scolarisé et dans quel établissement.
vendredi 20 février 2009
PROPOSITION DE LOI 2009 SUR LA RÉSIDENCE ALTERNÉE PARITAIRE ET PAR DÉFAUT
Mercredi 11 février 2009, SOS PAPA était à l'Assemblée Nationale, reçu par deux députés très impliqués dans la place du père auprès des enfants et très actifs, il s'agit de messieurs Richard Mallié et Jean-Pierre Decool.
Ces deux députés nous ont présenté une nouvelle mouture, d'un projet de proposition de loi ayant pour objet de rendre la Résidence Alternée, solution par défaut.
Si vous pensez qu'il faut le plus tôt possible obtenir cette résidence alternée par défaut, si vous pensez que cette priorité évidente de la résidence alternée par rapport à l'immonde droit de visite et d'hébergement doit être défini dans la loi au plus tôt, SOUTENEZ CE PROJET DE LOI. Soutenez Messieurs Mallié et Decool.
Vous DEVEZ faire connaître ce projet.
- Formulaire à renseigner en ligne (à télécharger en cliquant ici >>> )
- Pétition sous format "PDF" à imprimer et à faire signer par un maximum de personnes (à télécharger en suivant ce lien >>> )
dimanche 8 février 2009
Pétition pour la résidence alternée
je relaye ci dessous un commentaire reçu sur mon blog et invite chacune et chacun a se positionner pour qu'enfin les droits de l'enfant soient respectés, que le dvh ne soit plus la norme qui ne laisse que peu de place à l'un des parents, le plus souvent le père, qui mène au bout de quelques années à un abandon forcé, quel parent devrait accepté de voir son enfant 4 jours par mois alors qu'il veut s'investir dans le quotidien.
Un enfant n'est pas un objet, n'est pas une propriété, cet un être qui a besoin de ses deux parents pour devenir la femme ou l'homme adulte, un être complet et équilibré, bien dans sa tête... alors mobilisez vous et signez la pétition.
Ainsi la résidence alternée deviendra LA norme, solution prioritaire sauf réelle impossibilité (violence, éloignement volontaire géographique, etc) ou accord différent des parents.
bonjour ,
tombé malgré moi dans l'univers abjecte de la justice familiale française et abonné au classique 1 WE sur deux , je lance une petition on line POUR la résidence alternéé ( qui me semble le meilleur moyen pour les enfants d'entretenir des relations avec leurs deux parents )
si vous etes d'accord , peut etre pouvez vous signer et relayer ce lien :
http://www.mesopinions.com/Pour-la-residence-alternee-de-facto-petition-petitions-586e3621d983124dfbb41c7ea43dd2d7.html
merci de me tenir au courant.
le but est de se positionner pour le referendum d'initiative populaire dont les decrets d'application devraient paraitre prochainement afin de faire une proposition de loi et que celle ci soit examinée à l'assemblée .rien n'est sûr mais si nous ne faisons rien , rien ne se passera et si nous sommes les premiers à user de ce moyen ,ce sera une occasion de faire parler de ce que nous vivons avec nos enfants qui ne demandent qu'une chose : nous voir plus !
vendredi 16 janvier 2009
mardi 9 décembre 2008
LES MANIFESTATIONS SOS PAPA DE FIN D'ANNEE
Sources et infos : http://www.sospapa.net/pages2/sommaire/sommaire2.html
Tous ceux qui se battent pour leurs enfants et pour la coparentalité le savent bien.
Chaque fin d'année, à l'approche de Noël SOS PAPA organise ses traditionnelles manifestations dans toute la France.
En effet, Noël est ( théoriquement ) un moment magique, un moment de bonheur ou chaque parent peut voir les yeux émerveillés de ses enfants devant le sapin de Noël en ouvrant ses cadeaux, signes de l'amour que nous leur portons.
Un moment magique pour tous les parents ?
Malheureusement NON.
Pour quantité de parents ( 90% de pères ), l'approche de Noël sera au contraire l'approche d'une très grande détresse, voir même d'un début de panique : passer Noël sans même voir ses petits enfants, pour certains, sans même pouvoir leur offrir un cadeau, sans même pouvoir leur dire qu'on les aime.
Il s'agit, vous l'aurez compris, de VOUS, les victimes de la "Justice" familiale, véritable machine à broyer les enfants, les liens parents enfants, l'amour parent enfant.
Mais, en tant que victime, vous n'AVEZ PAS LE DROIT DE VOUS CONTENTER DE PLEURER, DE CRIER VOTRE COLERE.
VOUS DEVEZ AGIR.
Et, en cette fin d'année, SOS PAPA vous en donne l'occasion.
- Si vous aimez vos enfants a la folie,
- Si vous souhaiter le dire à tout le monde
- Si vous souhaitez dire à tout le monde ce qu'est réellement la "Justice Familiale"
- Ou simplement si, n'étant pas directement victime, vous souhaitez dire a quel point vous êtes solidaires, à quel point vous pensez, comme SOS PAPA, qu'un enfant a droit a ses deux parents et que priver un enfant d'un de ses parents est un des crimes les plus monstrueux qu'il soit,
dans tous les cas, venez manifester avec l'association familiale, membre de l'UNAF, SOS PAPA.
Prenez contact avec le délégué SOS PAPA le plus proche de chez vous ( voir la carte de nos délégations ) pour lui dire : je veux participer, je veux vous aider à organiser cette journée importante pour tous les enfants de France, pour tous NOS enfants.
Pour la Région parisienne, les actions SOS PAPA auront lieu le samedi 20 décembre 2008. Réservez ce jour dans votre agenda. Cela se passera depuis notre Siège National, bd Garibaldi jusqu'au parvis de la Tour Eiffel, défilé de pères Noël, distribution de tract, jongleur etc.
Vous devez venir.
Vous devez vous battre efficacement.
Vos enfants attendent de vous que vous n'ayez pas honte de dire publiquement : "je vous aime ! ! "
samedi 14 juin 2008
Compte rendu de la manifestation
Dépêche AFP - vendredi 13 juin 2008
Un projet de loi sur le "statut" de beau-parent visant à "reconnaître des droits au tiers qui vit avec un des parents et l'enfant" est en préparation, a-t-on appris auprès du ministère de la Justice vendredi.
"L'idée de la réforme est de reconnaître sous certaines conditions des droits au tiers qui vit avec un des parents et l'enfant, il n'est pas question de porter atteinte au droit du parent qui ne vit plus avec l'enfant", a indiqué à l'AFP la Chancellerie.
Une phase de concertation en collaboration avec le ministère du Travail et de la Famille, et le secrétariat d'Etat chargé de la famille a commencé vendredi au ministère de la Justice.
Aucun calendrier n'est fixé pour ce texte qui n'est "absolument pas définitif", a-t-on précisé.
Le document intitulé "avant projet de loi sur l'autorité parentale et les droits des tiers" a été rendu public par l'Interassociative lesbienne, gaie, bi et trans, qui a été reçue au ministère de la Justice. Le droit de l'enfant à entretenir des liens affectifs avec un "tiers qui a résidé avec lui et l'un de ses parents" y est posé comme principe.
Il offre également la possibilité pour les deux parents d'autoriser en commun un tiers à effectuer des actes importants de l'autorité parentale (santé, éducation, droits fondamentaux), selon l'Inter-LGBT.
Les conditions de délégation de l'autorité parentale sont par ailleurs assouplies. Ainsi, le tiers peut "en cas de décès" ou d'incapacité du parent "saisir le juge en vue de se voir déléguée tout ou partie de l'exercice de l'autorité parentale".
Dans un communiqué, l'Inter-LGBT "regrette que le projet de loi n'aille pas au bout de sa logique, en n'autorisant pas, par exemple, l'adoption simple de l'enfant (...), comme c'est aujourd'hui possible au sein d'un couple marié".
Certains sociologues et associations familiales ont fait part de leur crainte d'une "concurrence" entre adultes qui serait néfaste pour l'enfant.
La sociologue Sylvie Cadolle, auteur de "Etre parent, être beau-parent, la recomposition de la famille" (Odile Jacob, 2000), signale ainsi "qu'on s'aperçoit qu'il y a des effets secondaires et des risques à tous les étages".
Pour elle, "la priorité à respecter, c'est surtout de ne pas empiéter sur le droit de l'autre parent, celui qui est extérieur au couple recomposé. D'ailleurs, les oppositions à un statut du beau-parent suscitent surtout l'opposition des mouvements de pères divorcés" dit-elle.
Partant du constat qu'un nombre croissant d'enfants vit dans une famille recomposée, avec un seul de ses parents, Nicolas Sarkozy avait chargé Xavier Bertrand, dans une lettre de mission datée d'août 2007, de créer "un statut" pour donner aux beaux-parents des familles recomposées une existence juridique.
Le ministère de la Justice a indiqué que la concertation se poursuivrait sur "une quinzaine de jours" avec l'ensemble des associations concernées, notamment l'Unaf ou SOS Papa.
dimanche 8 juin 2008
SOSPAPA manifeste le 14 juin 2008
Nous somme dans un pays de droit, droit de l'homme mais aussi et surtout droits de l'enfant, n'oublions pas que chaque enfant a deux parents, et qu'il ne doit pas être acceptable que l'enfant se voit privé de l'un d'eux sans vrais raisons, juste par la faute de préjugés et de mentalités rétrogrades qui veulent qu'un père soit considéré comme un moins bon parent, affublé de stéréotypes dégradant, voulant qu'il soit incapable ou violant, voir pire...Sortons des tabous et soulevons nous ensemble contre cette injustice, il nous appartient à tous, pères et mères de le faire afin que nos enfants n'aient pas à payer ce lourd tribu de l'exclusion parentale.
Source Insee Première n°1195 - juin 2008
En 2005 1,76 millions d'enfants sont élevés dans le cadre d'une famille dite (très souvent à tord) « mono parentale ». Or, « mono-parentale » signifie que l’enfant n’a qu’un seul parent, Mais en réalité, seules 10 % de ces situations « mono-parentale » sont dues au décès ou à la disparition d'un des deux parents.
Donc reste 1,584 millions d'enfants qui ont toujours leurs deux parents, 85 % de ses enfants sont confiés à la garde de leur mère alors que la résidence alternée a été inscrite dans le code civil. Seul 8 % profitent de se système de résidence qui permet à l'enfant d'être avec ses deux parents.
40 % des enfants ayant leurs parents séparés ou divorcés ne voient plus ou très rarement leur père :
18 % soit plus de 285 000 enfants ne voient plus du tout leur père !
22 % soit près de 350 000 enfants ne le voient que très rarement !
Sur ceux-ci reste les plus de 700 000 enfants qui ne voient leur père que 2 ou 3 fois par mois, en moyenne 4 jours par mois !
Que devient dans ce contexte, où un père a toutes les peines du monde à conserver le lien avec ses enfants, la loi du 4 mars 2002 prévoyant la résidence alternée ?
Les raisons de la rupture du lien entre l'enfant est le père est du principalement :
- aux éloignements volontaires géographiques, c'est à dire que le parent gardien (à 85% la mère) s'éloigne afin de nuire voir d'empêcher les droits de visites et d'hébergement.
- Aux procédures judiciaires trop longues qui font que des pères aujourd'hui n'ont toujours pas revu leur(s) enfant(s) depuis plusieurs mois, voir plusieurs années...
- aux accusations mensongères, qui valent sous le principe de précaution l'interdiction pour le père de voir ses enfants, ou au mieux en point rencontre (2h toutes les deux semaines maximum), sans que par la suite, le parents ayant accusé soit sanctionné des conséquences de celles ci.
- Les pères qui abandonnent sous la pression des mentalités rétrogrades qui ne lui donnent que peu de chance d'avoir une vrai place dans la vie de son enfant ou par la longueur de procédures et l'acharnement judiciaire qui le ruine tant moralement que financièrement, et ce, toujours en toute impunité.
Il existe en effet des pères réellement démissionnaires, mais combien veulent être présents et ne sont pas entendus, les pères sont autant capables que les mères, et la présence du père est tout aussi importante dès la prime enfance pour l'aider à se construire et à devenir adulte :
Docteur Marc DELFIEU, psychiatre, dans Experts, n° 67, juin 2005, p. 25: « Le taux des maladies psychosomatiques telles que les troubles anxieux, les dépressions, les troubles de la conscience de soi et les troubles relationnels est significativement plus élevé chez les personnes adultes examinées dont le père a été absent pendant une période prolongée au cours des six premières années de leur vie. Environ 50 à 70 % des hommes et femmes subissent encore à l'âge adulte des problèmes considérables pour avoir grandi sans leur père. "
dimanche 1 juin 2008
Affiches SOSPAPA téléchargeables et imprimables
vendredi 9 mai 2008
La papamobile est arrivée !
vendredi 18 avril 2008
mercredi 26 mars 2008
Pourquoi mon engagement.
C'est pour avoir vécu ce que je n'aurais jamais cru possible que je me suis engagé au sein de SOSPAPA dans la défense des droits des enfants à avoir leurs deux parents et contre les comportements honteux de parents qui font tout pour effacer l'autre parent de la vie de leur enfant par tous moyens possible.
N'hésitez pas à me contacter, j'essayerai de vous conseiller au mieux, de vous orienter vers des professionnels selon vos difficultés si cela est nécessaire, d'être à votre écoute, car dans ces situations, la pire des choses est de se retrouver seul(e), sans personne à qui se confier, quelqu'un qui sache être attentif afin de relever la tête et de pouvoir repartir, ne plus se laisser faire par faiblesse ou naïveté. Toutefois, j'ai aussi besoin de vous afin de faire entendre notre voix, afin que nos politiques et la justice prennent la mesure du problème et fassent enfin ce qui est nécessaire pour rétablir la place des deux parents auprès de nos enfants.
Pourquoi une délégation SOSPAPA à Montauban
...il n'est plus admissible que nos enfants, en cas de séparation, soient privés de l'un de leur parent, à 85% le père. Il n'est plus admissible qu'il soit rendu aussi difficile pour un père d'obtenir la résidence alternée sur des principes dépassés, sur un principe d'une coutume, sur allégation d'un conflit parental ou encore parce que le parent gardien à mis de la distance entre le domicile des deux parents afin de nuire même au simple exercice des droits de visites et d'hébergement. Il n'est plus admissible que les non présentations d'enfants ne soient pas sanctionnés, de même que les accusations mensongères, dont l'enfant est le premier à payer les conséquences en étant privé d'un parent aimant et attentif, qu'il verra au mieux dans des points rencontres au rythme de deux heures par quinzaine, véritables mouroirs affectifs. La justice doit changer, les mentalités doivent évoluer, pour permettre à nos enfants de grandir sereinement auprès de leur deux parents, avec l'amour et l'attention de chacun d'eux. Ces situations se retrouvent partout, c'est pourquoi il est nécessaire d'être présent partout en France.
SOSPAPA est une association loi 1901 fondée en 1990, membre de l'UNAF (Union Nationale des Associations Familiales), forte de 37 délégations présent dans toute la France et de plus de 14000 membres, elle a également des correspondants à l'étranger (USA, Japon, Europe) ce qui fait d'elle la plus importante et la plus influente association de pères en France et la première association de défense des liens pères enfants en cas de divorce ou séparation des parents, elle a été également reconnue association de victimes par Nicolas Sarkozy, alors Ministre de l'Intérieur.
Vous pouvez nous aider en adhérant à l'association, en venant témoigner, en manifestant avec nous, en participant à des campagnes de signatures de pétitions, en rencontrant des parents qui sont dans le conflit et en leur faisant partager votre expérience afin de les aider à agir pour leur(s) enfant(s) et non pas pour eux même en cherchant à garder l'enfant à eux.